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  • Photo du rédacteurGeneviève Lazaron

Femmes et précarité : dénoncer c'est bien, agir c'est mieux!


Vendredi 7 novembre, à l'occasion des 100 ans de Vie Féminine, le CPCP organisait une matinée sur le thème : Femmes: la précarité à visage caché sous le parrainage de l'écrivaine Colette Nys Massure et de l'économiste François Maniquet.

Des témoignages édifiants de réalisme comme celui de Chantal Gossens mais aussi des informations sur les dispositifs qui existent organisés par la Province ou la Ville de Namur.

Plus qu’hier et peut-être moins que demain, le mot précarité est de plus en plus souvent utilisé. Si la crise économique y est pour bonne cause, la précarité ne s’arrête pas au point de vue financier.

Bien que liée à la précarité économique, la précarité sociale est un fléau quotidien qui touche bon nombre de femmes. L’absence de « ressources humaines/personne ressources » autour de soi, de compagnie, de relais entraîne l’individu dans une spirale négative.

Les 2 axes d’intervention sont donc nécessaires.

​​Au vu des spécificités féminines vectrices de précarité au regard de l'emploi (inégalités salariales,...) plusieurs études soulignent le risque de précarisation accentué des mères de familles monoparentales. Ce constat est alarmant !

Dans le cadre de leur anniversaire mais surtout de leur action quotidienne au coeur des quartiers namurois, c'est tout naturellement que la section locale du CDH Namur a récompensé cette association en lui remettant le Prix Orange.

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